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La m​é​lodie, le fleuve & la nuit

by Jérôme Minière

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    Précommande de JÉRÔME MINIÈRE La mélodie, le fleuve & la nuit. Vous obtenez 2 pistes dès maintenant (pour écoute en continu au moyen de l’appli gratuite de Bandcamp, aussi offertes sous forme de fichiers de haute qualité à télécharger en MP3, FLAC et plus), ainsi que l’album complet dès sa sortie.

    paraît le 26 août 2022
    Purchasable with gift card

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  • Compact Disc (CD) + Digital Album

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    Comprend la précommande numérique de JÉRÔME MINIÈRE La mélodie, le fleuve & la nuit. Vous obtenez 2 pistes dès maintenant (pour écoute en continu au moyen de l’appli gratuite de Bandcamp, aussi offertes sous forme de téléchargement de haute qualité en MP3, FLAC et plus), ainsi que l’album complet dès qu’il paraîtra.
    expédition prévue vers le 26 août 2022

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1.
Cairo 04:04
Paroles: Jamais été beaucoup plus loin Que le bout de mes mains Jamais été au Caire Ou navigué sur les mers Jamais rien fait d’admirable La plupart du temps passable Mais je t’aime comme un père Dans ce monde à l’envers Même quand c’est maladroit Ne pleure pas sur ce qui est Il n’y a pas d’autre endroit Suis le rythme où il va Ton âme était bleue Avant d’être née Aucune autre couleur Ne peut la cacher Le Caire c’est cette ville immense Et sur le Nil la poussière Du désert mais aussi Ce bled de l’Illinois Où ni toi ni moi N’avons jamais mis les pieds Et en 78 tours D’un vieux blues le contour Le Caire en anglais Cairo En un mot trois réalités Il n’y a pas d’autre endroit Suis le rythme où il va Ton âme était bleue Avant d’être née Aucune autre couleur Ne peut la cacher Et chaque jour nous sommes émus D’apprivoiser l’inconnu Au coin de toutes les rues Au coin de toutes les rues Les noms ne sont que des repères Aux éclats souvent trompeurs La multitude les lieux les heures Chantent notre douleur Même enfouis sous l’habitude Même quand nous avons peur Même quand notre âme est bleue Tu ne trouveras pas mieux Ton âme était bleue Avant d’être née Aucune autre couleur Ne peut la cacher
2.
Détour 04:07
Paroles: Si tout revenait comme avant Les humains comme des aimants Les parfums sous les arbres Presque immobiles à la fenêtre Le fleuve et la nuit charrient des étoiles Tu les as à peine aperçues Tu fais ce qui te chante Et si c’est lourd tu suis un détour Et quand tu fatigues et quand tu tangues Quand tu te demandes à quoi ça rime Et dans quelle langue ? La mélodie relie tout l’espace Elle se dévoile et d’elle-même elle s’efface Si tout revenait comme avant Les humains comme des aimants Les parfums sous les arbres Presque immobiles à la fenêtre Le fleuve et la nuit charrient des étoiles Tu les as à peine aperçues Tu fais ce qui te chante Et si c’est lourd tu suis un détour Et quand tu fatigues et quand tu tangues Quand tu te demandes à quoi ça rime Et dans quelle langue ? La mélodie relie tout l’espace Elle se dévoile et d’elle-même elle s’efface
3.
Paroles: Tu réécoutes ce vieux disque Des années 90 Ou bien avec délice Cette belle rengaine d’Elvis C’est le son du temps qui nous dépasse C’est le son du temps qui nous embrasse Et les leçons du temps qui passe... et tout efface Juste au-dessus de la vallée S’aiguise un ciel d’été Dont la forme indécise Voile la beauté exquise C’est le son du temps qui nous dépasse C’est le son du temps qui nous embrasse Et les leçons du temps qui passe... et tout efface Et le temps quoiqu’on fasse Restera de glace Est-ce la peur, la joie, la menace ? Ce chemin que tu enlaces C’est le son du temps qui nous dépasse C’est le son du temps qui nous embrasse Et les leçons du temps qui passe... et tout efface Et cette émotion Tu ne sais pas comment la nommer Et toute ta vie Dans une simple mélodie C’est le son du temps qui nous dépasse C’est le son du temps qui nous embrasse Et les leçons du temps qui passe... et tout efface Tu réécoutes ce vieux disque Des années 90 Ou bien avec délice Cette belle rengaine d’Elvis C’est le son du temps qui nous dépasse C’est le son du temps qui nous embrasse Et les leçons du temps qui passe... et tout efface C’est le son du temps qui nous dépasse C’est le son du temps qui nous embrasse Et les leçons du temps qui passe... et tout efface
4.
Lasso 02:52
Paroles: Dans cette chanson J’voudrais convoquer l’universel Qu’il y mette son grain de sel Je l’ai appelé sur son cell Il n’a pas répondu à l’appel L’universel est occupé Il fume des cigarettes en chaussettes Sur sa terrasse Il regarde les oiseaux malins du matin Chanter la lumière du soleil Et s' remuer le popotin Sans paroles ça l’émerveille Jamais il ne se lasse de leur doux refrain Quelque part et n’importe où Quelqu’un et n’importe qui Le sens le son et les mots Attrapés au lasso Au galop sur les mille plateaux Dans cette chanson Je voudrais aussi faire sens Mais c’est difficile dans le sens où Quand je le sens tout près de moi Que j’tiens mon lasso fermement Il repart au galop en sens inverse Le sens c’est comme le sel Dans un plat si t’ en mets trop Ça sent le contraire de ce que ça devrait C’est si saturé que Ça ne goûte plus rien À dire vrai Le sens c’est comme le sel Quelque part et n’importe où Quelqu’un et n’importe qui Le sens le son et les mots Attrapés au lasso Au galop sur les mille plateaux Dans cette chanson Je ne fais la leçon À personne Il n’y a rien qui résonne C’est creux comme le fond d’une casserole Et j’abandonne la raison Pour laquelle je l’ai commencée Je l’offre à toute personne bien intentionnée J’abandonne ce chien usé Sur le bord d’une autoroute Comme le font chaque été ces familles Qui partent à la mer Le cœur brisé parce qu’il aboyait trop Et qui pour l’année prochaine Songent à un gorille Même si ça n’est pas forcément pratique en ville L’universel s’est occupé De ce vieux braque allemand mouillé à poil court Qui aboie maintenant le matin Quand il fume en chaussettes sur sa terrasse Et que les oiseaux malins remuent leur popotin Tout ça pour dire en quelques mots Que dans les chansons comme en cuisine En peinture en photo ou dans la vie Ça sert à rien d’en mettre trop Et que Georges Brassens Était vraiment trop doué au lasso Au lasso Quelque part et n’importe où Quelqu’un et n’importe qui Le sens le son et les mots Attrapés au lasso Au galop sur les mille plateaux Au galop sur les mille plateaux Au galop sur les mille plateaux Au galop sur les mille plateaux
5.
Paroles: Souffler le chaud Et puis le froid Se jeter à l’eau Rester sans voix Lire sur un visage ce qu’il ne dit pas Comment ressentir deux choses à la fois ? De ce fruit le goût doux-amer L’ambiguïté aimer Et dévaler Comme un fou la vallée de la vie Comment ressentir deux choses à la fois ? Comment ressentir deux choses à la fois ? Trouver quelque chose Dans un moment de pause Tristesse et joie d’un départ Sans trop savoir : gratitude ou désespoir Comment ressentir deux choses à la fois ? Comment ressentir deux choses à la fois ? Partir à l’aventure Et sentir la nostalgie du retour Douleur et plaisir De te revoir Futur, passé ou bien présent Tu gagnes ou tu perds à chaque instant Comment ressentir deux choses à la fois ? Comment ressentir deux choses à la fois ?
6.
7.
Paroles: Une existence par procuration Constamment l’impression De revivre le générique De ce que serait la suite Tu n’oses pas vivre ta vie Tu la regardes comme un travelling Et chaque séquence te rappelle Un autre film que tu as vu De ces films souvenirs intimes Ces intrigues ces voix off Désormais à jamais les tiennes De ta vie un best of De Chris Marker le faux soleil Ou bien Singing in the rain Tu as le goût de la cerise Ou d’un voyage à Tokyo Avec Godard à bout de souffle Sur le Boulevard du crépuscule Jusqu’à la notte d’Antonioni Nuit américaine sur ta vie C’est comme ce soir dans une ville Assis quelque part Tu pourrais t’croire dans un film D’Almodovar C’est comme ce soir dans une ville Assis quelque part Tu préfères croire que tout ça C’est du grand art Tu n’y peux rien à vrai dire Paris Texas les ailes du désir Tu n’as jamais su choisir Louis de Funès ou bien Bourvil Pialat Varda Kubrick Tati Lynch Hayao Miyazaki Wenders Dolan Kurosawa Ozon Ozu Méliès Tati C’est comme ce soir dans une ville Assis quelque part Tu pourrais t’croire dans un film D’Almodovar C’est comme ce soir dans une ville Assis quelque part Tu préfères croire que tout ça C’est du grand art Les fraises sauvages ou Manhattan De Truffaut le dernier métro Charlie Chaplin s’est enfui Avec Deneuve et Adjani Toujours ailleurs plutôt qu’ici Toujours ailleurs plutôt qu’ici C’est comme ce soir dans une ville...
8.
Paroles: Nous traversons des lieux et des moments Notre pas toujours changeant Nous tient lieu d’horizon À peine plus dense que l’ombre des nuages Rêver sur le lit de rivières endormies Danser sur la géographie Disposés au pied du hasard L’ensemble des doutes et la foi Nos essais les poèmes les lois Ils n’y changent à peu près rien Nous sommes enfants du paysage Semés par les vents de passage Nous sommes enfants du paysage Semés par les vents de passage Le trouble sur nos visages Notre pas toujours changeant Nous tient lieu d’horizon À peine plus dense que l’ombre des nuages Rêver sur le lit de rivières endormies Danser sur la géographie Disposés au pied du hasard L’ensemble des doutes et la foi Nos essais les poèmes les lois Ils n’y changent à peu près rien Nous sommes enfants du paysage Semés par les vents de passage Nous sommes enfants du paysage Semés par les vents de passage Nous sommes enfants du paysage Nous sommes enfants du paysage Semés par les vents de passage
9.
Paroles: Tu dis vouloir aller jusqu’au bout du monde Mais si tu y penses bien deux secondes Au bout de tes doigts il est déjà il abonde Pourquoi courir à fond du lundi au dimanche Largué à des kilomètres de distance Ici partout c’est ta maison La source sans comparaison Étanche ta soif d’illumination À ta disposition Les bases et les fondations On peut s’offrir toutes les secondes Qu’elles soient graciles agiles ou fragiles Toutes celles qui peuplent notre monde Pourquoi faire la fausse promesse Comme dans les chansons d’amour D’une ivresse qui jamais ne cesse Mais d’autres promesses il n’y a pas Qui ne tiennent déjà dans tes bras Le parfum et l’émoi L’espoir tout entier tient dans un seul baiser Et pendant toutes ces années Sous les frondaisons Nous avons rêvé des révolutions Qui ne se sont jamais concrétisées À quoi bon Ailleurs que dans notre imagination Et nul besoin de tout savoir Et de tendre des miroirs Et d’attendre toujours mieux Et nul besoin de tout savoir Et de tendre des miroirs Jeter de la poudre aux yeux Et comme tous ces arbres multicentenaires À l’ombre douce de l’éphémère Tu garderas toute la lumière Et comme tous ces arbres multicentenaires À l’ombre douce de l’éphémère Tu garderas toute la lumière Ici partout c’est ta maison La source sans comparaison ...
10.
Paroles: Je sais même pas si Ce coin d’univers Touche à l’infini Même quand c’est sublime C’est point à la ligne C’ est pas moi qui trépigne Sur des rythmes trépidants C’ est pas moi qui désigne La marque sur le cadran C’est parce qu’ils disent que la terre est plate Que j’ tourne en rond comme un automate Dans cette ville dans cette rue Une forêt disparue des gestes disparates Tu sais je sais même pas si Ce coin d’univers Touche à l’infini Même quand c’est sublime C’est point à la ligne Tu remets ton costume Reprends tes vieilles habitudes Avec ta gueule de gazoline Tu fais fuir les parulines C’est parce qu’ils disent que la terre est plate Que j’ tourne en rond comme un automate Dans cette ville dans cette rue Une forêt disparue des gestes disparates Je taille un chemin par ici Dans tes pensées j’m’ suis senti Oui dépassé sur toute la ligne Un dinosaure dans un jardin de ruines Tiens c’est drôle J’ai aucun contrôle En plein soleil T’a vu c’est mon ombre Qui parle à ma place Sur la côte opaline Je calme mon spleen C’est surréaliste C’est parce qu’ils disent que la terre est plate Que j’ tourne en rond comme un automate Dans cette ville dans cette rue Une forêt disparue des gestes disparates Je taille un chemin par ici Dans tes pensées j’m’ suis senti Oui dépassé sur toute la ligne Un dinosaure dans un jardin de ruines Vivre c’est rêver sans savoir Le fin mot de l’histoire Vivre c’est rêver sans savoir
11.
Paroles: La nuit sur les bords de Loire Avec un magnétocassette On avait quelque chose à boire Une bouteille partagée à sept C’était toujours un peu pareil On chantait quelque chose en anglais Sans vraiment tout comprendre de ce que ça disait C’est simple comme bonjour C’est le b.a.-ba C’est comme du jazz Mais joué sans solo De tout ce qui s’est passé J’ai gardé tous les visages Sur le fleuve étoilé Ces moments d’amitié C’est simple comme bonjour C’est le b.a.-ba De ce qui nous entoure Apprendre deux choses ou trois Ce que tu voudras Tel ce rêve perdu Cette sensation ténue Juste sous la pensée Elle s’était adossée C’est simple comme bonjour C’est le b.a.-ba De ce qui nous entoure Apprendre deux choses ou trois Ce que tu voudras Une blague, un jeu de mots Une suite de syllabes Verticales ou horizontales Dans un ordre improbable La nuit sur les bords de Loire Avec un magnétocassette La nuit sur les bords de Loire Avec un magnétocassette
12.
Paroles: Je ne sais pas pourquoi Tu es partie si loin Travailler dans un cirque Tu m’as dit que tu m’apprendrais des techniques Et moi je vois que déjà tu sais t’enfuir Et moi je vois que déjà tu sais t’enfuir N’étais-je qu’un petit singe Musicien Ma muse de moi tu t’amusais Lorsque nous nous aimions Tu m’as dit que tu m’apprendrais la musique Et moi je vois que déjà tu sais t’enfuir Et moi je vois que déjà tu sais t’enfuir J’ai médité sur les raisons De ton départ Mais toujours ces questions Me désemparent Le temps de nous faire À ce que l’on perd Qu’est-ce qui nous fait nous enfuir ? Qu’est-ce qui nous fait nous en faire ? Et moi je vois que déjà je sais m’enfuir Et moi je vois que déjà je sais m’enfuir Je retrouve ce poème De l’histoire ancienne Caché dans un carnet La trace de ce qui a été effacé Je ne sais pas pourquoi Je faisais cette tête moi Je demande au passé Ce qu’il a à me confier Mais moi je vois que déjà il sait s’enfuir Mais moi je vois que déjà il sait s’enfuir Mais moi je vois que déjà il sait s’enfuir
13.
Paroles: Prendre le micro Et ne plus savoir trop Quel propos tenir au Sujet de quoi où Quel mot prononcer Sans quiproquo provoquer Sans se censurer Quelque chose à susurrer Sans se faire agresser Ou même canceller En français annuler Peut être ne parler Que du bout de son nez Voir de son nombril et De ce que l’on a mangé Pas de ce qui a changé Au cours de la décennie Les banalités D’un mode de vie Sans grands reliefs assumer Quelque chose à susurrer Sans se faire agresser Ou même canceller En français annuler Ou peut être ne rien dire Rester bien tranquille À ma place ou pire Prisonnier imbécile De paramètres civils Sociaux de genre et de race Et décrire à la place Le style exact de ma musique Ne plus nous adresser Qu’à nos segments de marché Réduit la taille de nos idées Ne plus nous adresser Qu’à nos segments de marché Réduit la taille de nos idées Je ne tiendrai pas l’index Des microconflits Par souci par peur d’être mis Moi-même à l’index Je ne tiendrai pas l’index Des microconflits Par souci par peur d’être mis Moi-même à l’index
14.
Paroles: La première fois que je l’ai vue C’était vraiment quelque chose Les simples notes d’un piano En séries transparentes Elle portait un tee-shirt blanc De marque obsolète En gros caractères c’était écrit sur l’horizon blanc et gris : Nous vivons dans un nuage rejoint par le silence Avant les songes embuaient nos yeux Mais la compression des villes les a délavés C’est ici sur cette avenue Que nous nous sommes perdus Les simples notes d’un piano En séries transparentes À la porte d’un magasin De marque obsolète En gros caractères c’était écrit sur l’horizon blanc et gris : Nous vivons dans un nuage rejoint par le silence Avant les songes embuaient nos yeux Mais la compression des villes les a délavés Bien des années plus tard Je suis dans cette gare Un crépitement au loin L’eau sous les roues du train Le trait de nos deux mains Qui se rejoignent ici et après Dansent dans un geste de lumière dense Nous vivons dans un nuage rejoint par le silence Avant les songes embuaient nos yeux Mais la compression des villes les a délavés Les a délavés adlib

credits

released August 26, 2022

auteur & compositeur : Jérôme Minière
instruments & programmation : Jérôme Minière

— José Major batterie "Le son du temps qui nous dépasse", "Cairo", "Enfants du paysage", "Simple comme bonjour" et "Le singe musicien"
— Joseph Marchand guitare électrique "Le son du temps qui nous dépasse", "Enfants du paysage" et "Simple comme bonjour"
— Guido del Fabbro violon "Le son du temps qui nous dépasse"et "Détour"
— Philippe Brault basse "Cairo" et "L’index des microconflits"
— Albin de la Simone synthés, piano una corda & ciboulette (percussion) "Le singe musicien", "L’index des microconflits", "Enfants du paysage", "Simple comme bonjour"
— Fé chœurs "Détour" et "Cairo"

arrangements : Jérôme Minière
arrangement des violons : Guido del Fabbro & Jérôme Minière
"Le son du temps qui nous dépasse" et "Détour"
réalisation : Jérôme Minière & Philippe Brault
mixage : Pierre Girard sauf "L’index des microconflits" par Philippe Brault et "Deux choses à la fois", "Sentiment vibrato", "Séries transparentes" par Jérôme Minière
mastering : Marc Thériault à Le Lab Mastering (Montréal)
photographies : Marie-Pierre Normand
artwork : Rémy Poncet — Brest Brest Brest

relations de presse:
(Canada)
Sonia Cesaratto, sonia@cesaratto.com
Simon Bourdou, simon@ray-on.ca
(France)
Jean-Philippe Béraud, jp@martingale-music.com
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sites officiels
instagram.com/jeromeminiere
jeromeminiere.tumblr.com
facebook.com/JeromeMiniere.officiel

℗ & © 2022 — Jérôme Minière
Sous licence exclusive à Objet Disque
Distribué par Kuroneko (France) & Ray-On (Canada)

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